Une collectivité produit, collecte, traite, transmet et archive quotidiennement un nombre considérable d’informations. Au cours des dix dernières années, les méthodes de travail et la gestion des données ont été profondément transformées et impliquent désormais l’ensemble des agents et élus des collectivités territoriales.
La dématérialisation vise une efficacité accrue (gain de temps, plus de contrainte de temps ou de lieu, économie de papier et d’affranchissement, optimisation des suivis et recherches) en permettant une gestion entièrement électronique des données ou des documents produits en interne ou émanant des partenaires (administrations, administrés, fournisseurs) au format numérique ou numérisés.
La dématérialisation des procédures administratives est une démarche à prendre en compte sur l'ensemble du cycle de vie des documents numériques. Ceux-ci sont soumis aux mêmes principes que les documents papiers concernant leur archivage (cf. les obligations et responsabilités en la matière). Le CDG 59 propose à cet effet une solution d'archivage électronique, dont vous trouverez une présentation à l'adresse suivante.
Voici détaillées ci-dessous les téléprocédures pour lesquelles Cre@tic propose, outre les outils adéquats et éprouvés, l’accompagnement documentaire, technique et humain nécessaire.
Cette téléprocédure consiste pour votre collectivité à transmettre par voie électronique à la préfecture ou sous-préfecture les actes soumis au contrôle de légalité et au contrôle budgétaire (délibérations, arrêtés réglementaires et individuels, contrats et conventions ainsi que les documents budgétaires et financiers) et à recevoir en quelques minutes l’acquittement permettant de rendre la décision exécutoire immédiatement.
La mise en œuvre de la dématérialisation de vos envois d’actes au contrôle de légalité suppose la signature d’une convention avec la préfecture (ou sous-préfecture), l’accès à un tiers de télétransmission homologué et l’usage d’un certificat électronique d’authentification respectant la norme RGS** par agent amené à effectuer cette téléprocédure.
Dans le cas de transmissions d’actes budgétaires, il vous faudra, outre vous assurer que ce type d’actes fait partie du périmètre de votre convention sans quoi un avenant sera nécessaire, utiliser TotEM. Cette application, développée par le MIOCT et accessible gratuitement, a pour unique fonction de consolider, au sein d’un même fichier au format XML, les données budgétaires contenues dans les progiciels de gestion financière.
L’agent en charge de l’envoi des actes se connecte via une authentification forte (certificat RGS**) sur un tiers de télétransmission homologué, renseigne les caractéristiques de son acte (nature, nom, référence interne, nomenclature externe), joint son acte au format PDF et les éventuelles pièces complémentaires puis enfin valide la transmission aux services de l’Etat. Quelques minutes après, l’agent constate la bonne réception sur les serveurs du contrôle de légalité via un bordereau d’acquittement qui rend l’acte exécutoire dans l’instant.
Le Cdg59 met à disposition de toutes les collectivités territoriales et établissements publics locaux du département du Nord le tiers de télétransmission S2LOW de l’opérateur ADULLACT couplé à la plateforme de centralisation des flux PASTELL et y active le module ACTES.
Le Cdg59 réalise le paramétrage de la collectivité sur la plateforme de télétransmission, forme les agents concernés à l’utilisation de l’outil puis, une fois le projet effectif, assiste les utilisateurs au besoin dans la réalisation de leurs tâches et maintient le module ACTES de la plateforme opérationnel.
La plateforme de télétransmission et l’accompagnement des utilisateurs sont pris en charge par le Cdg59. La collectivité doit quant à elle s’acquitter de l’achat de certificats RGS** (1 certificat par utilisateur) auprès du prestataire de certification électronique de son choix.
TOTEM
REFERENCES TDT (260ko)
CONTACTS PREFECTURE (240ko)
FICHE PASTELL (650ko)
Cette téléprocédure consiste pour votre collectivité à transmettre par voie électronique à la trésorerie les pièces comptables (mandats de dépenses, titres de recettes et bordereaux récapitulatifs) et de transporter dans un flux vos pièces justificatives nativement numériques ou préalablement numérisées (factures, pièces d’exécution des marchés, paie, …) selon un protocole appelé PES V2. Depuis le 1er janvier 2015 tous les flux comptables doivent respecter ce protocole.
La mise en œuvre de la dématérialisation de vos envois de titres, mandats, bordereaux et pièces justificatives suppose la signature d’une convention de raccordement à HELIOS (nom de l'application informatique de la DGFiP dédiée au secteur local), l’accès à un tiers de télétransmission homologué ou au portail de la DGFiP et, dans le cas de la mise en place de la signature électronique des bordereaux, l’usage d’un outil de signature et d’un certificat électronique par signataire.
La signature des flux comptables peut se réaliser au moyen de 3 dispositifs différents en terme de fonctionnalités et de coût :
L’agent en charge de l’envoi des titres et mandats se connecte sur un tiers de télétransmission homologué ou sur le portail de la DGFiP, nomme sa transaction, insère son fichier XML, valide la transmission vers la trésorerie et reçoit dans l’heure un accusé de réception. En amont ou pendant cette démarche selon l’architecture mise en place, le maire/président/élu en charge des finances peut, si la collectivité a opté pour, signer électroniquement les bordereaux.
Le Cdg59 met à disposition de toutes les collectivités territoriales et établissements publics locaux du département du Nord le tiers de télétransmission S2LOW de l’opérateur ADULLACT couplé à la plateforme de centralisation des flux PASTELL et y active le module HELIOS.
En amont, la plateforme PASTELL peut être interfacée avec le logiciel de gestion financière de certains éditeurs (ex. COSOLUCE, JVS, CIRIL, ...) et ainsi permettre une automatisation des dépôts de flux.
Le Cdg59 réalise le paramétrage de la collectivité sur la plateforme de télétransmission, forme les agents concernés à l’utilisation de l’outil puis, une fois le projet effectif, assiste les utilisateurs au besoin dans la réalisation de leurs tâches et maintient le module HELIOS de la plateforme opérationnel.
La plateforme de télétransmission et l’accompagnement des utilisateurs sont pris en charge par le Cdg59. Dans le cas de la mise en œuvre de la signature des bordereaux par PASTELL ou le parapheur électronique, la collectivité doit s’acquitter de l’achat de certificats RGS** (1 certificat par signataire) auprès du prestataire de certification électronique de son choix.
La signature électronique est à un document numérique ce que la signature manuscrite est à un document papier. Ainsi, tout comme une signature manuscrite, une signature électronique a pour seul objectif de démontrer à un tiers que le document a été approuvé par une personne identifiée (propriété d’identification) ; mais en plus, elle permet de garantir que le document n’a pas été modifié entre l’instant où il a été signé et le moment où il est consulté (propriété d’intégrité).
La directive européenne n°1999/93/CE du 13 décembre 1999 consacre la reconnaissance légale de la signature électronique. Cette directive a été transposée en droit français et c’est la loi n° 2000-230 du 13 mars 2000 qui confère à la signature électronique la même valeur que la signature manuscrite. Cette loi a depuis été complétée par plusieurs décrets qui en précisent les conditions d’application.
La démarche de signature électronique d’un document suppose, outre un document nativement numérique, un outil de signature (installé sur le poste de travail ou accessible en ligne) et un certificat électronique (fichier logiciel ou dispositif matériel + code PIN).
En effet, quand la signature manuscrite requiert une feuille, une plume, de l’encre et un geste personnel du signataire, la signature électronique requiert de la même façon, et ce respectivement, un fichier, un outil de signature, un certificat électronique et un code PIN confidentiel.
Pour signer un document, il faut de manière générale visualiser le document à signer, insérer le certificat dans son ordinateur et/ou le sélectionner à écran, cliquer sur un bouton « signer », saisir le code PIN correspondant et valider l’action de signature.
La signature électronique se différencie de la signature écrite par le fait qu’elle n’est pas visuelle mais correspond à une suite de caractères. Concrètement, l’opération de signature s’applique à un document et produit une information unique appelée communément signature électronique. Celle-ci est non seulement liée au document mais également à la personne qui a réalisé l’action de signature.
Attention, une signature manuscrite numérisée n’est en aucun cas une signature électronique et n’a en conséquence aucune valeur juridique, il s’agit juste d’une copie. De même, un document signé électroniquement puis imprimé perd immédiatement sa valeur probatoire.
On peut signer tout type de fichiers (.DOC, .XLS, .JPG, .PDF, .XML, ...). Cependant, la bonne pratique pour les fichiers bureautiques consiste à utiliser le format .PDF très largement répandu et offrant une bonne stabilité de document.
(à venir)
Ce dispositif consiste à faire circuler virtuellement, selon des étapes décisionnelles de validation et/ou de signature électronique préalablement définies, tout document produit par la collectivité (courriers, conventions, congés, documents budgétaires, factures, notes internes, …). Consulter, annoter, valider et signer des documents depuis les locaux de la collectivité ou à l’extérieur et ce à 8h comme à 20h constituent les principaux avantages d’un parapheur électronique.
Tout d’abord, il convient de créer un dossier (fichier avec ou sans pièce(s) jointe(s)) soit par import manuel soit par import automatisé en sortie d’un logiciel, puis de lui définir un nom et de lui associer un circuit de validation à choisir nécessairement parmi une liste prédéfinie et paramétrée. Le dossier ainsi constitué est envoyé dans le circuit décisionnel et le 1er intervenant est alerté par notification. L’agent ou l’élu peut alors, selon le rôle qui lui est assigné dans le circuit, valider ou signer le dossier, mais également l’annoter et/ou le refuser, ce qui stoppe ainsi définitivement le parcours du dossier, sans quoi celui-ci continue son parcours et attend son traitement par les décisionnaires suivants successifs.
Cependant, la rigidité inhérente au paramétrage de l’outil peut constituer une limite à son efficacité tout comme son déploiement sans refonte de processus. En effet, l’informatisation de circuits inefficients ne permet pas d’atteindre l’efficacité escomptée.
Les collectivités ont la possibilité d’acquérir et de mettre en œuvre au sein de leur structure le parapheur électronique i-Parapheur de Libriciel SCOP (cf. fiche).
En parallèle, le Cdg59 se propose d’accompagner ces collectivités dans les phases de réflexion, paramétrage, formation puis assistance technique et fonctionnelle dans le cadre de la « Convention relative à la mise à disposition d’un agent du Centre de gestion de la Fonction Publique Territoriale du Nord pour une mission relative au système d’information ».
Le coût de mise en place, d’hébergement et de maintenance de l’outil est fonction de la taille de la collectivité (nombre d’habitants ou d’agents) et de son intégration ou non dans le système d’information de la collectivité (mode internalisé ou mode hébergé).
Le coût de l’accompagnement du Cdg59, optionnel mais conseillé, est lui aussi fonction de la taille de la collectivité.
Formation
1 session « Utilisation d’i-Parapheur » : une demi-journée – max 12 agents
1 session « Administration d’i-Parapheur » : une demi-journée – max 3 agents
Les 2 sessions de formation ont lieu le même jour, au choix dans les locaux de la collectivité ou dans ceux de Cre@tic. Il s’agit de formations non mutualisées entre plusieurs collectivités et réalisées avec le matériel informatique de Cre@tic (ordinateurs portables, vidéoprojecteur, …).
Recueil du paramétrage
Informée des différents éléments de paramétrage à définir (utilisateurs, groupes, bureaux, circuits, …), la collectivité est alors à même de compléter un tableau de recueil d’informations élaboré et fourni par Cre@tic.
Administration
Cre@tic demande l’ouverture du service auprès du prestataire et réalise consciencieusement le paramétrage de la plateforme selon les éléments fournis par la collectivité après, si besoin, modifications concertées.
Recette
Cre@tic livre la plateforme à la collectivité sous 10 jours ouvrés et encourage cette dernière à effectuer des tests de bon fonctionnement.
Assistance
La collectivité dispose du support de formation et des manuels d’utilisation et d’administration fournis par le prestataire. Cre@tic reste à son écoute et à sa disposition pour toute question, résolution de dysfonctionnements fonctionnels/techniques ou modification de paramétrage, et ce principalement via le formulaire en ligne d’assistance, le téléphone étant réservé aux urgences.
Remarque : Cre@tic s’engage à minimiser le délai d’administration de l’outil et s’attend à ce que la collectivité adopte, autant que faire se peut, la même stratégie pour la phase de recueil du paramétrage afin d’optimiser les bénéfices de la formation.
FICHE I-PARAPHEUR (1Mo)
Ce dispositif consiste à fournir aux élus un outil itinérant de gestion des séances permettant de récupérer les convocations et projets de délibérations, de réaliser des annotations privées ou partagées avec les autres membres du conseil et donc ainsi de leur permettre de travailler en amont des séances délibérantes sur tablettes tactiles.
Une gestion facile pour le préparateur (agent) qui, après connexion au portail depuis son ordinateur, établit en quelques clics l’ordre du jour d’un conseil en sélectionnant les thématiques, saisissant les noms des projets et joignant les documents de travail ; puis qui procède à l’envoi des convocations via des listes de diffusion préétablies mais modifiables. L’interface permet ensuite de visualiser à tout instant le statut de chaque convocation.
Un usage simple pour le destinataire (élu) qui, après avoir reçu une notification par mail, peut consulter depuis sa tablette, et ce sans aucune contrainte temporelle, les documents préparatoires du conseil ou mieux encore les télécharger afin de pouvoir les consulter à loisir sans contrainte de connexion internet. Les documents peuvent faire l’objet de notes, personnelles ou à partager, afin de faciliter le travail d’analyse et de discussion lors des réunions.
L’envoi électronique d’une convocation est autorisé par l’article L.2121-10 du code général des collectivités territoriales qui stipule que « Toute convocation est faite par le maire. Elle indique les questions portées à l'ordre du jour. Elle est mentionnée au registre des délibérations, affichée ou publiée. Elle est adressée par écrit, au domicile des conseillers municipaux ou, s'ils en font la demande, envoyée à une autre adresse ou transmise de manière dématérialisée ».
Dans les faits, il est cependant nécessaire de faire voter cette possibilité par le conseil et de modifier le règlement intérieur en conséquence, cette disposition sera ainsi possible mais non obligatoire. L’accord des conseillers souhaitant recevoir par messagerie électronique leurs convocations sera obtenu en même temps que leur adresse électronique. Que la convocation soit papier ou électronique, la loi n’impose pas l’utilisation d’un accusé de réception. Cependant, cela permet au maire de se prémunir contre d’éventuelles contestations.
Les collectivités ont la possibilité d’acquérir et de mettre en œuvre au sein de leur structure l’outil de dématérialisation des convocations i-delibRE de Libriciel SCOP (cf. fiche) accessible par navigateur internet ou par application (disponible sur Apple Store, Google Store ou Windows Store).
En parallèle, le Cdg59 se propose d’accompagner ces collectivités dans les phases de réflexion, paramétrage, formation puis assistance technique et fonctionnelle dans le cadre de la « Convention relative à la mise à disposition d’un agent du Centre de gestion de la Fonction Publique Territoriale du Nord pour une mission relative au système d’information ».
Le coût de mise en place, d’hébergement et de maintenance de l’outil est fonction de la taille de la collectivité (nombre d’habitants ou d’agents) et de son intégration ou non dans le système d’information de la collectivité (mode internalisé ou mode hébergé).
Le coût de l’accompagnement du Cdg59, optionnel mais conseillé, est lui aussi fonction de la taille de la collectivité.
Formation
1 session « Utilisation d’ i-delibRE» : 2h00 – max 12 agents
1 session « Administration d’ i-delibRE » : 1h00 – max 3 agents
Les 2 sessions de formation ont lieu la même demi-journée, au choix dans les locaux de la collectivité ou dans ceux de Cre@tic. Il s’agit de formations non mutualisées entre plusieurs collectivités et réalisées avec le matériel informatique de Cre@tic (ordinateurs portables, vidéoprojecteur, …).
Recueil du paramétrage
Informée des différents éléments de paramétrage à définir (utilisateurs, élus, types de séances, thèmes, email de convocation, …), la collectivité est alors à même de compléter un tableau de recueil d’informations élaboré et fourni par Cre@tic.
Administration
Cre@tic demande l’ouverture du service auprès du prestataire et réalise consciencieusement le paramétrage de la plateforme selon les éléments fournis par la collectivité après, si besoin, modifications concertées.
Recette
Cre@tic livre la plateforme à la collectivité sous 10 jours ouvrés et encourage cette dernière à effectuer des tests de bon fonctionnement.
Assistance
La collectivité dispose du support de formation et des manuels d’utilisation et d’administration fournis par le prestataire. Cre@tic reste à son écoute et à sa disposition pour toute question, résolution de dysfonctionnements fonctionnels/techniques ou modification de paramétrage, et ce principalement via le formulaire en ligne d’assistance, le téléphone étant réservé aux urgences.
Remarque : Cre@tic s’engage à minimiser le délai d’administration de l’outil et s’attend à ce que la collectivité adopte, autant que faire se peut, la même stratégie pour la phase de recueil du paramétrage afin d’optimiser les bénéfices de la formation.
FICHE IDELIBRE (880ko)
Ce dispositif consiste à gérer de manière automatisée les actes de diverses assemblées délibérantes en permettant tout d’abord de construire des projets de délibération, puis d'instruire ces projets dans un circuit de validation pour ensuite les inscrire à l'ordre du jour d'une séance délibérante avant d’en établir le procès verbal de décision.
Tout d’abord, il convient de créer un projet et de lui attribuer un certain nombre de paramètres prédéfinis qui décideront de la vie du projet (intervenants et circuits de validation). Une fois le projet validé par l’ensemble des acteurs, celui-ci est ajouté à l’ordre du jour d’une réunion de conseil par le service de gestion des assemblées.
Son couplage avec i-delibRE permet de rendre disponible sur tablette pour les élus en amont et pendant la séance les documents générés par l’outil (délibérations et annexes, ordres du jour, …).
Son couplage avec i-Parapheur permet d’envoyer automatiquement en signature des délibérations dont les votes ont été directement saisis dans l’outil pendant ou après la séance.
Son couplage avec le tiers de télétransmission S2LOW (via PASTELL) permet de transmettre automatiquement les actes aux services du contrôle de légalité et d’en récupérer les accusés de réception.
Cependant, la rigidité inhérente au paramétrage de l’outil peut constituer une limite à son efficacité tout comme son déploiement sans refonte de processus. En effet, l’informatisation de circuits inefficients ne permet pas d’atteindre l’efficacité escomptée.
Les collectivités ont la possibilité d’acquérir et de mettre en œuvre au sein de leur structure l’outil de gestion des actes WebDelib de Libriciel SCOP (cf. fiche).
En parallèle, le Cdg59 se propose d’accompagner ces collectivités dans les phases de réflexion, paramétrage, formation puis assistance technique et fonctionnelle dans le cadre de la « Convention relative à la mise à disposition d’un agent du Centre de gestion de la Fonction Publique Territoriale du Nord pour une mission relative au système d’information ».
Le coût de mise en place, d’hébergement et de maintenance de l’outil est fonction de la taille de la collectivité (nombre d’habitants ou d’agents) et de son intégration ou non dans le système d’information de la collectivité (mode internalisé ou mode hébergé).
Le coût de l’accompagnement du Cdg59, optionnel mais conseillé, est lui aussi fonction de la taille de la collectivité.
Formation
1 session « Utilisation de WebDelib » : une demi-journée – max 12 agents
1 session « Administration de WebDelib » : une demi-journée – max 3 agents
Les 2 sessions de formation ont lieu le même jour, au choix dans les locaux de la collectivité ou dans ceux de Cre@tic. Il s’agit de formations non mutualisées entre plusieurs collectivités et réalisées avec le matériel informatique de Cre@tic (ordinateurs portables, vidéoprojecteur, …).
Recueil du paramétrage
Informée des différents éléments de paramétrage à définir (utilisateurs, thèmes, séances, compteurs, circuits, modèles, …) la collectivité est alors à même de compléter un tableau de recueil d’informations élaboré et fourni par Cre@tic.
Administration
Cre@tic demande l’ouverture du service auprès du prestataire et réalise consciencieusement le paramétrage de la plateforme selon les éléments fournis par la collectivité après, si besoin, modifications concertées.
Recette
Cre@tic livre la plateforme à la collectivité sous 10 jours ouvrés et encourage cette dernière à effectuer des tests de bon fonctionnement.
Assistance
La collectivité dispose du support de formation et des manuels d’utilisation et d’administration fournis par le prestataire. Cre@tic reste à son écoute et à sa disposition pour toute question, résolution de dysfonctionnements fonctionnels/techniques ou modification de paramétrage, et ce principalement via la complétude d’un formulaire en ligne d’assistance, le téléphone étant réservé aux urgences.
Remarque : Cre@tic s’engage à minimiser le délai d’administration de l’outil et s’attend à ce que la collectivité adopte, autant que faire se peut, la même stratégie pour la phase de recueil du paramétrage afin d’optimiser les bénéfices de la formation.
FICHE WEBDELIB (450ko)
Le RGS, Référentiel Général de Sécurité, est le cadre règlementaire permettant d’instaurer la confiance dans les échanges au sein des administrations et avec les citoyens. Les différents niveaux de sécurité sont identifiés par un nombre de une à trois étoiles (*, **, ***).
Les principaux usages des certificats électroniques RGS** sont l’authentification et la signature.
Le CDG 59 travaille en partenariat avec le Syndicat Mixte LaFibre5962, porteur d'une centrale d'achat permettant l'acquisition de certificats RGS** au meilleur coût (Pour un certificat valable 3 ans : 90€ TTC l'unité remise dans nos locaux / 186€ TTC l'unité livrée en vos locaux).
L'adhésion à cette centrale d'achat est gratuite. Vous trouverez ci-après les documents permettant aux collectivités de devenir membre.
Il existe presque autant de types de certificats qu’il existe de combinaisons des différents supports (matériel, logiciel), durées de validité (1, 2, 3 ans et plus), fonctionnalités (authentification, signature, chiffrement), titulaires (personne physique, personne morale, machine), niveaux de sécurité (Ø, 1 étoile, 2 étoiles, 3 étoiles au sens RGS), …, et donc en définitive de besoins d’utilisation de certificats qu’ils soient facultatifs ou obligatoires.
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